Les Troubles Neurocognitifs Légers (TNC)
affectant la mémoire

> Attention : il s’agit de la capacité à traiter une information ou plusieurs informations en même temps Mémoire de travail

> Fonctions exécutives : capacité à planifier, à décider, à s’adapter

> Mémoires : il existe plusieurs mémoires : celle des événements vécus (mémoire épisodique distinguant les faits récents et anciens), celle du savoir et des connaissances (mémoire sémantique), celle des savoir-faire (mémoire procédurale), etc.

> Langage On étudie l’expression (utilisation des mots, de la grammaire, le débit) et la compréhension du langage

> Praxies (faire) et gnosies (savoir) Activités visuo-perceptives, visuoconstructives, perceptivo-motrices

> Cognition sociale Reconnaissance des émotions chez autrui

Les origines sont larges :

Neurologique, psychiatrique, médicamenteuse …

Dés lors, l'âge, le vieillissement n'est pas la seule cause admise pour la perte de mémoire.

En effet, l'hygiène de vie entrant en ligne de compte dans la santé du cerveau on comprend dés lors que :

> un mauvais sommeil

> un état dépressif

> des carences alimentaires

> un isolement social

vont affecter de manière différenciée les divers aspects de la mémoire.

Le cerveau évolue tout au long de la vie. Cette capacité du cerveau à s’adapter à son environnement, aux événements et liée directement à la capacité du cerveau humain de créer de nouvelles connexions neuronale lui permettant d’être plus efficace.

On appelle cela la "plasticité cérébrale" ou neuroplasticité, capacité de réorganisation, d'adaptation du cerveau n’est pas la même au cours de la vie. Exacerbée au cours de l’enfance, elle diminue à l’age adulte. Expliquant ainsi pourquoi de nouveaux apprentissages sont plus difficiles plus on avance en age. Cependant même quand le cerveau est mature conserve cette capacité à s’adapter :la plasticité cérébrale stimulée permet de ralentir le déclin cognitif et les pertes de mémoire.